jeudi 31 juillet 2014

Sonatrach : “Il y a eu une conjoncture de lobbys et d’influences défavorables à Zerguine”

Abdelhamid Zerguine

Six jours après l'officialisation de la démission de Abdelhamid Zerguine, au poste de directeur général de Sonatrach, les raisons de son limogeage n'ont pas été éclaircies. Qui se cache vraiment derrière le licenciement de celui qui a pris les rênes de l'entreprise pétrolière nationale en novembre 2011 ? Algérie-Focus a posé la question à Nazim Zouioueche, ex-PDG de Sonatrach, qui a géré la société publique de 1995 à 1997. 

Propos recueillis par Djamila Ould Khettab

Le Premier ministre Abdelmalek Sellal a annoncé samedi 26 juillet le départ de Abdelhamid Zerguine, directeur général de Sonatrach. Avez-vous été surpris par cette annonce ?

Nazim Zouioueche : Non, c'était dans l'air depuis un ou deux mois. Ce qui m'a surpris en revanche c'est que le Premier ministre a annoncé la démission d'Abdelhamid Zerguine la veille de l'Aïd, je pensais qu'il allait attendre après les fêtes.

Aucune explication officielle n'a jusqu'à présent été avancée...

Il y en aura pas. Moi quand j'ai été démis de mes fonctions, on ne s'est pas justifié. La même chose pour mon successeur, il n'a jamais su pourquoi. Dernièrement, le seul départ pour lequel les autorités ont senti le besoin de se justifier c'est celui de Meziane [ndlr Mohamed Meziane, remercié en 2010 suite à l'éclatement du scandale de corruption de Sonatrach].

Selon vous, qu'est-ce qui a motivé le départ de Abdelhamid Zerguine ?

Plusieurs raisons. Il faut revenir d'abord sur les circonstances de sa nomination au poste de directeur général de Sonatrach. Abdelhamid Zerguine est un homme intelligent et bien élevé mais ce costume était trop grand pour lui. Il a fait l'essentiel de sa carrière dans le secteur du génie civil.  Or, le coeur de l'activité de Sonatrach c'est "l'amont", c'est-à-dire l'exploitation et la production de pétrole. En plus, Zerguine a pris la tête de Sonatrach dans une période difficile : les affaires de corruption, la chute des recettes, qui est plus importante en réalité que ce que le gouvernement annonce... Depuis les scandales de corruption, rares sont les cadres à Sonatrach à prendre des initiatives et leurs responsabilités, ils préfèrent attendre les directives de leur supérieur pour "se couvrir". Ce qui explique notamment le retard cumulé ces des derniers mois dans la réalisation de certains projets.

Donc Abdelhamid Zerguine a souffert d'un manque d'expériences et d'un contexte interne difficile...

Pas seulement. Il a été nommé à la faveur d'un jeu de lobbying, comme il est de coutume ces derniers temps au sein de Sonatrach, mais il a perdu au fur et à mesure de l'influence. La politique et les objectifs énergétiques de l'Algérie devraient être dictés par le Conseil national de l'Energie mais dans les fait ils sont à la merci du ministre de l'Energie. Donc mieux vaut être proche et en phase avec le ministre de l'Energie quand on est patron de Sonatrach. Or il y a eu une mésentente entre Youcef Yousfi et Abdelhamid Zerguine sur le dossier de l'exploitation des ressources en gaz de schiste. Ce dernier a traîné des pieds, il ne voulait pas se lancer à court terme dans l'exploitation des gisements en gaz de schiste de l'Algérie, il préférait mieux préparer le terrain. Il avait aussi peur que cela ne soit pas rentable et ne produise pas les résultats escomptés. Mais je ne pense pas que cela lui a coûté son poste.

Le ministre de l'Energie Youcef Yousfi n'est donc pas derrière le limogeage d'Abdelhamid Zerguine...

En tout cas il n'est pas seul. Un ministre de l'Energie peut avoir la tête d'un PDG de Sonatrach, pas de deux ! D'ailleurs, si seul le ministre avait voulu sa démission il n'aurait pas choisi un président par intérim [ndlr Saïd Sahnoune] pour prendre sa place, mais il aurait désigné un nouveau directeur général. Je pense qu'il y a eu une nouvelle conjoncture de lobbys et d'influences au sein de la Sonatrach qui a été défavorable à Zerguine.

Louisa Hanoune, la présidente du Parti des Travailleurs (PT), a récemment accusé Ali Haddad, le patron de l'ETRHB, de "faire installer son ami à la tête de Sonatrach dans le but d'obtenir de contrats". Qu'en pensez-vous ?

C'est Louisa Hanoune qui a lancé la rumeur, c'est à elle de s'expliquer. Ce n'est pas impossible que des entrepreneurs, comme Ali Haddad, aient joué un rôle dans cette affaire.

C'est le troisième changement de PDG à Sonatrach depuis 2010, la société peine à retrouver une stabilité...

Oui, elle ne s'en est jamais remise des scandales de corruption et de l'affaire Chakib Khelil. Et le départ de Zerguine entraînera nécessairement d'autres changements au sein de la direction, ce qui ne va pas aider à retrouver de la stabilité. La démission de Zerguine peut aussi être mal perçue par les futurs partenaires de la Sonatrach au moment où des appels d'offres pour l'attribution de nouvelles parcelles d'exploration de ressources sont en cours d'étude.

Etes vous inquiet pour l'avenir à court et moyen termes de l'entreprise que vous avez dirigée pendant 3 ans ?

J'ai passé toute ma vie à Sonatrach donc je souhaite que cette société récupère le panache qu'elle a autrefois eu. Mais si les PDG continuent à être choisis non pas sur la base de leurs compétences mais de leur réseau, je doute que la situation se rétablisse. Durant la décennie noire, la Sonatrach a lancé plus de projets que durant les années 2000. Elle a aussi entre temps perdu sa force : les ressources humaines. Malheureusement, depuis une dizaine d'années, la Sonatrach a perdu sa capacité à former ses employés.

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Source : Algérie Focus
Date : July 31, 2014 at 08:37PM

Crash du MD-83 : les boîtes noires commencent à parler

Les jours passent et les causes du crash de l’avion MD-83 d’Air Algérie commencent à s’éclaircir. Selon les informations de France 3, rendues publiques ce jeudi 31 juillet, les résultats de l’analyse de la première boîte noire ont mis les enquêteurs sur la piste d’un orage violent comme cause de l’accident. L’avion aurait d’abord été […]

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Source : TSA-Algérie
Date : July 31, 2014 at 06:29PM

Gaza : Dominique de Villepin s’en prend à François Hollande et à Israël

Dans une tribune parue ce jeudi 31 juillet au journal Le Figaro, l’ancien Premier ministre français Dominique de Villepin appelle François Hollande à changer sa position sur Israël, coupable selon lui de « massacres » à Gaza. Il faut que la France s’engage pour la fin des massacres à Gaza. C’est en substance le message […]

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Source : TSA-Algérie
Date : July 31, 2014 at 06:00PM

Gaza : l’Algérie veut une réunion urgente de l’ONU

La mise en œuvre du plan de paix du président Bouteflika pour Gaza commence à se préciser. Après les entretiens du chef de l’État avec le président égyptien et l’Émir du Qatar, la diplomatie algérienne s’active avec l’autorité palestinienne pour obtenir une convocation « urgente » d’une session spéciale de l’Assemblée générale des Nations Unies (ONU) sur […]

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Source : TSA-Algérie
Date : July 31, 2014 at 05:50PM

Belkalem rejoint Vahid à Trabzonspor

Le défenseur central des Verts, Essaïd Belkalem, a officiellement rejoint Trabzonspor, a annoncé ce jeudi 31 juillet le club turc sur son compte twitter. Belkalem kampa katıldı: Kulübümüze transferi konusunda görüşmelere başlanan Essaid Belkalem takım… http://t.co/wMWCW5sQTH #Trabzonspor — Trabzonspor Kulübü (@Trabzonspor) July 31, 2014 À Trabzonspor, l’International algérien, 25 ans, retrouvera son ancien coach en […]

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Source : TSA-Algérie
Date : July 31, 2014 at 05:16PM

AH 5017 : 13 experts algériens “vivent 24h sur 24″ sur le site du crash et “travaillent plus de dix heures par jour”

CRASH

Il n'y a pas que les experts français qui activent sur le site du crash du vol AH 5017 afin de retrouver et identifier les victimes de cette tragédie. Non, 13 experts algériens se trouvent depuis le 25 juillet dernier sur le site du crash au nord du Mali.

"Ils 24 H sur 24 sur le site du crash et travaillent plus de dix heures par jour, afin de permettre aux familles de faire enfin leur deuil", a expliqué à ce sujet jeudi Abdelkader Kara Bouhadba, directeur de la police judiciaire au sein de la Direction générale de la sûreté nationale (DGSN). Ce haut responsable de la DGSN a confié lors d'une conférence de presse animée à Alger que cette équipe algérienne fait de son mieux pour identifier les victimes algériennes de cette tragédie. Et pour ce faire, les 13 experts algériens utilisent "l’analyse ADN" pour identifier les victimes.  "Les corps sont très fragmentés vu la violence du crash ; ce qui explique le choix de ce procédé ", a-t-il indiqué en expliquant que des prélèvements ont d'ores et déjà effectués sur les familles des victimes.

Cependant, la tâche de ces 13 experts n'est guère aisée car le processus d’identification des victimes est "complexe et prendra beaucoup de temps" d'autant plus qu'il intervient dans " une zone du crash  sableuse et difficile d’accès", explique le directeur de la police judiciaire. "Elle connaît également des pluies orageuses et une température qui s’élève à 45°, ce qui peut rendre inexploitables les échantillons prélevés pour l’identification", a-t-il avancé en dernier lieu pour démontrer qu'il faudra beaucoup de temps pour que les experts algériens puissent achever leur travail convenablement.

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Source : Algérie Focus
Date : July 31, 2014 at 04:56PM

Sean Paul en concert à Alger

Sean Paul

Après Féfé, Christophe Maé et Stromaé, c’est Sean Paul qui viendra enflammer la nuit algéroise.

La star du raggaeton, Sean Paul, sera en concert à Alger le 22 août prochain. Il se produira à la salle de la Coupole. Le prix des billets ainsi que les points de vente n’ont pas encore été dévoilés par SmartProd et Index Communications, qui organisent l’événement.

La première partie de soirée sera assurée par DJ Zoloto, DJ Mordax et DK Djam’s.

Un numéro a été mis à disposition pour tout renseignement : 021606547

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Source : Algérie Focus
Date : July 31, 2014 at 04:16PM

Des célébrités dénoncent la guerre contre Gaza sur les réseaux sociaux

Depuis plusieurs jours, de nombreux artistes occidentaux et arabes ont tenu à soutenir les Palestiniens sur les réseaux sociaux. L’actrice espagnole Pénélope Cruz et la chanteuse américaine Rihanna ont exprimé leur souhait que la paix règne sur la Palestine et sur Israël, via leurs comptes Twitter. Let's pray for peace and a swift end to […]

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Source : TSA-Algérie
Date : July 31, 2014 at 03:41PM

Les États-Unis livrent des munitions à Israël

armée

Mercredi 30 juillet, au 24e jour de l’opération Bordure Protectrice, les États-Unis ont livré des armes à Israël.

Livraison de grenades et d’obus américain à Israël

Les États-Unis ont livré des armes à l’État hébreu suite à une demande de réapprovisionnement effectuée le 20 juillet dernier et approuvée 3 jours plus tard par le ministère de la défense américain.

« Les États-Unis se sont engagés à garantir la sécurité d’Israël, et il est crucial pour les intérêts nationaux américains d’aider Israël à développer et à maintenir une capacité d’autodéfense forte et réactive. Cette vente d’armement est cohérente avec ces objectifs », a réagi l’attaché de presse du Pentagone, John Kirby.

La livraison américaine doit ainsi permettre à Israël de se réapprovisionner en grenades de 40mm et en obus de mortier de 120 mm. Ces armes proviennent principalement d’un stock entreposé par l’armée américaine sur le territoire israélien, mis à disposition de Tsahal en cas d’urgence.

« La décision de délivrer des munitions à partir de ce stock était purement ministérielle et ne nécessitait par l’approbation de la Maison blanche », a souligné Kirby.

351 millions de dollars pour financer le Dôme de fer

Par ailleurs, l’Agence France Presse rapporte que, mardi 29 juillet, une commission du Sénat américain a approuvé une hausse de moitié de l’aide financière américaine au « Dôme de fer », le système israélien de défense anti-missiles, qui protège Israël des roquettes tirées depuis Gaza.

La commission a voté l’octroi de 351 millions de dollars pour financer le système anti-missiles israélien durant l’année budgétaire 2015, contre 235 millions en 2014. Au total, depuis la mise en service du Dôme de fer en 2011, les États-Unis ont dépensé 700 millions de dollars pour soutenir le projet.

Israël, premier bénéficiaire de l’aide extérieure américaine depuis 1976

Une enquête de l’association France-Palestine solidarité révèle qu’Israël est le premier bénéficiaire de l’aide extérieure américaine depuis 1976. Au sein de l’aide extérieure, les prêts militaires représentent une part de plus en plus importante. Depuis 1971, Israël reçoit en moyenne 2 milliards de dollars d’aide par an, dont 2/3 sont consacrés à l’assistance militaire.

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Source : Algérie Focus
Date : July 31, 2014 at 03:02PM

“Les Algériens consomment deux fois plus d’électricité que les Européens”

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Sensibiliser et inciter les ménages à réduire leur taux de consommation de l’électricité, actuellement à 60%, est indispensable pour parvenir à l’efficacité énergétique. Telle est la recommandation du consultant en énergie Toufik Hasni qui a appelé à une mise en place d’un règlement sur l’importation des appareils électroménagers.

Limiter le gaspillage de l’électricité passe, pour le consultant en énergie M. Toufik Hasni, par la sensibilisation des ménages à réduire leur taux de consommation de l’électricité et ce, « en agissant sur la tarification. C’est ce qu’a déclaré M. Hasni dans une interview à l’APS. « L’Algérien consomme deux fois plus d’électricité comparativement aux citoyens européens et ceux des pays développés » estime le spécialiste qui affirme que pour réduire la consommation, il faut s’orienter vers les équipements des ménages car on peut agir rapidement sur ce segment. Un règlement sur l’importation des appareils électroménagers s'avère nécessaire car ils sont énergivores y compris les climatiseurs qui ne sont pas toujours aux normes ». Pour le spécialiste en énergie, « l’efficacité énergétique consiste en la recherche de moyens de réduire et d’optimiser la consommation d'énergie mais aussi de limiter le gaspillage de cette ressource. Dans les foyers, il y a des équipements énergivores qui consomment davantage d’électricité que d’autres appareils qui répondent aux normes d’économie d’énergie », a-t-il souligné. M. Hasni a insisté sur l’importance de la sensibilisation « pour inciter les ménages à réduire leur consommation ». Pour ce dernier, ces campagnes ne sont pas efficaces tant qu’elles ne sont pas accompagnées d’une réglementation visant à pénaliser les familles qui dépassent un seuil limité et préfixé de la consommation d’électricité. «Les gens doivent être touchés dans leurs poches pour ressentir l’importance de la réduction de consommation de l’énergie » a-t-il plaidé. Dans ce sens, le consultant a précisé que le seuil normal que les ménages ne doivent pas dépasser doit être fixé entre 300 à 400 KW par bimestre. «Tous les ménages qui dépassent ce seuil doivent payer un tarif plus élevé », a-t-il ajouté. Selon M. Hasni, cette alternative est le seul moyen pour que les foyers réduisent leur consommation de 60% actuellement à 30% pour parvenir à l’efficacité énergétique. S’agissant des raisons devant inciter les ménages à réduire leur consommation, l’analyste affirme qu’il est indispensable de faire augmenter la consommation du secteur industriel qui ne dépasse pas actuellement les 5%, tandis que celle des ménages est estimée à 60%. «Pour parvenir à un taux de croissance escompté de 7%, il faut développer la consommation dans ce secteur. A ce moment-là, 40% de la consommation sera du fait de l’industrie même si ce secteur est aussi soumis aux règles d’efficacité énergétique », a-t-il ajouté.

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Source : Algérie Focus
Date : July 31, 2014 at 02:52PM

Sofiane Djilali : « Si on nous interdit de faire une conférence on la fera dans la rue ! »

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La Coordination nationale pour les libertés et une transition démocratique (CNLTD) se prépare à rendre public la dernière version de sa plateforme entamée le 10 juin dernier. Une copie de ce projet politique pensé par l’opposition sera également envoyée à la Présidence.

Les opposants réunis sous l’égide de la CNLTD ont fini de peaufiner la plateforme servant de base à leur projet de transition politique. Après la conférence nationale organisée le 10 juin dernier à l’hôtel Mazafran, à Zeralda tous les acteurs politiques qui ont rejoint ce groupe d'opposition ont harmonisé cette plateforme qui se déclinait en 11 points essentiels pour engager une réelle transition du régime algérien. "Il s'agit d'une vision globale, d'un changement de tout le système pas seulement une transition politique", explique Sofiane Djilali, chef du parti Jil Jadid, l'un des acteurs majeurs de la CNLTD. Ce dernier précise que quelques modifications "de forme" ont été apportées à la plateforme présentée en juin dernier pour éviter " les redondances, ou alléger les textes. Toutefois les résolutions adoptées restent les mêmes que celles proposées lors de la dernière conférence", indique-t-il.

Ainsi dès la semaine prochaine une copie de ce document sera envoyé à tous les militants, et leaders politiques concernés par ce projet, ainsi qu'à la Présidence, première concernée par leurs revendications d'après les membres de la CNLTD. "Nous nous imaginons qu'il y aura un peu de réticence. Mais nous espérons que nous n'aurons pas à faire face à une présidence fantôme et qu'il reste quelqu'un de censé à la tête de l'Algérie pour nous écouter", estime Sofiane Djilali.

Du côté du RCD, on indique que le projet de cette coordination nationale "sera présenté dès la rentrée sociale. Il sera plus opportun de la rendre public à ce moment-là plutôt qu'en août, un mois où les Algériens ne seront pas très présents", précise Réda Boudrâa, militant au sein du RCD. Pour l'heure les membres de la CNLTD tentent d'organiser des conférences thématiques qui auront lieu à partir de la rentrée de septembre, mais ils restent prudent. Ils craignent des refus de la part des autorités comme ce fut le cas pour la conférence du 21 juillet qui n'avait pas été autorisée par la wilaya d'Alger. Pour Sofiane Jilali les conférences publiques sont indispensables pour transmettre leur message à la société civile et la faire participer. Même s'il craint des difficultés pour l'organisation de ces rencontres publiques, il promet de maintenir ces réunions. « Si on nous interdit de faire une conférence on la fera dans la rue ! », a-t-il conclu.

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Source : Algérie Focus
Date : July 31, 2014 at 01:13PM

Crash du vol AH 5017 : aucun corps n’a été identifié pour le moment

Aucun corps des victimes du  crash du vol AH 5017  d’Air Algérie n’a été identifié jusqu’à maintenant,  a indiqué ce jeudi 31 juillet Abdelkader Kara Bouhadba, directeur de la police judiciaire au sein de la Direction générale de la sûreté nationale. Lors d’une conférence de presse tenue, le 31 juillet, à Ben Aknoun, le commissaire-divisionnaire […]

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Source : TSA-Algérie
Date : July 31, 2014 at 01:10PM

Jumenterie de Tiaret : le temps des amoureux du cheval est-il révolu en Algérie ?

photo 5

La Grande Jumenterie de Tiaret est le plus ancien et le plus grand haras d’Algérie, loin devant ceux d’Oran et de Constantine. Mais cet établissement, hérité de l’époque coloniale, doit faire face depuis plusieurs années à un double problème : la baisse inéluctable de l’activité, couplée à un délabrement croissant des bâtiments. Reportage.

“Jumenterie”. Même le nom sur le panneau à l’entrée de la ville n’évoque pas grand chose. Si ce ne sont les discrètes crinières chevalines qui surplombent les lampadaires de la route d’Alger, presque impossible de deviner ce que l’on va trouver en arrivant à Tiaret. Et pourtant, c’est bien à l’intérieur de son haras colonial, niché au détour d’un petit chemin défoncé, que naissent depuis plus d’un siècle les meilleurs chevaux d’Afrique.

Le grand salon annuel du cheval de Tiaret est la vitrine de cette intense activité de reproduction. Pendant plusieurs jours, cette métropole de 200 000 habitants, perchée sur les hauts plateaux à 300 kilomètres au sud-ouest d’Alger, se métamorphose pour vivre au pas -ou plutôt au galop- des équidés. Plusieurs milliers de passionnés affluent alors des quatre coins du pays pour voir les plus beaux spécimens de barbes ou de pur-sang arabes s’affronter dans des concours de sauts d’obstacles, des courses hippiques ou encore des spectacles de fantasia.

Une activité en péril financièrement

Mais face au délaissement des pouvoirs publics, ce temple algérien du cheval, inauguré en 1877 dans le but de fournir à l’armée française ses meilleures montures, est en pleine perte de vitesse depuis l’indépendance même s’il produit encore la plupart des étalons offerts régulièrement aux présidents français en guise de cadeaux diplomatiques. De 400 juments et étalons et près de 120 employés à son apogée, la Grande Jumenterie* compte aujourd’hui de 280 à 350 bêtes et de 55 à 70 salariés selon la période de l’année car la reproduction s’étale de février à mai.

Si l’établissement ne peut plus soutenir son activité d’antan, c’est en grande partie à cause de l’absence des subventions. Pourtant, placé sous la tutelle du ministère de l’Agriculture, le haras ne reçoit plus un centime de l’Etat algérien depuis que la propriété ait été désignée “ferme pilote” en 2010. Ce statut signifie qu’elle doit être complètement autonome financièrement.

C’est aujourd’hui le cas, puisque la Grande Jumenterie tire 40% de ses ressources des ventes de poulains, pouliches, juments et étalons, les 60% restants émanant de la production agricole du domaine. Or sa superficie se réduit comme peau de chagrin, de 1 500 hectares à la période française à moins de 700 hectares aujourd’hui. L’aléa climatique est également fort :  les récoltes de cette année n’ayant par exemple pas été bonnes en raison de pluies tardives, l’équilibre financier est menacé. Et l’activité chevaline d’en pâtir en conséquence.

De l'autre côté, les dépenses ont explosé avec parfois jusqu'au décuplement des prix des produits de première nécessité en seulement dix ans. Ainsi, le quintal d’orge est passé de 170DA au début des années 2000, à plus de 1 500DA actuellement. De même pour les bottes de fourrage et de paille.

[caption id="attachment_103443" align="aligncenter" width="610"]photo 2 Les juments, dont la période de fécondation s'étend de février à mai dans le but de mettre bas au printemps, passent la fin d'après-midi et la nuit à brouter dans les vastes champs sous la Grande Jumenterie.[/caption]

Des bâtiments menacés de délabrement

Mais si la pérennité de l’activité du haras est menacée, le riche patrimoine qu’il représente l’est tout autant. Des ailes entières du vaste édifice colonial sont délaissées, tombent en ruines ou sont transformées en débarras. Le rose pâle des murs n’a jamais paru aussi défraîchi.

Presque aucune rénovation n’a été entreprise depuis le départ des colonisateurs, qui redoutaient ce délabrement à leur départ. Le capitaine Jacob, dernier directeur français de la Grande Jumenterie, avait préconisé à ses successeurs algériens de ne pas laisser leurs compatriotes couper les arbres autour du site, afin de le protéger et le laisser respirer. Un conseil resté lettre morte, au regard des grands ensembles bétonnés qui sortent de terre un peu partout dans les environs.

[caption id="attachment_103444" align="aligncenter" width="610"]photo 1 (2) Dans l'aile sud de la jumenterie, un ancien vestiaire transformé en débarras.[/caption]

“Comment ça , il y a une activité hippique à Tiaret?”

Aucun effort n’est consenti en haut lieu pour protéger ou entretenir cette propriété historique, pas plus que pour en promouvoir la visite. Les curieux ne sont que quelques centaines chaque année, et beaucoup d’algériens, voire de tiarétiens, ne connaissent même pas son existence ni son glorieux passé.

Ainsi, un palefrenier de longue date de la jumenterie raconte qu’à la fin des années 1980, à l’occasion d’un salon équestre à Oran, un groupe de femmes originaires de Tiaret s’est approché de son stand, au-dessus duquel flottait une banderole du Poney Club municipal. “Comment ça, il y a une activité hippique à Tiaret?” avait lancé interloquée l’une d’entre elles. Le potentiel touristique est donc immense. Au haras, on propose même d’organiser des visites commentées, à cheval ou en calèche.

L’entrée en service d’ici deux ans d’un centre d’insémination artificielle pourrait sauver la reproduction chevaline à Tiaret, mais pas les bâtiments de la Grande Jumenterie. Le délabrement guette et le temps presse. Reste maintenant à savoir quand les autorités algériennes en prendront conscience.

[caption id="attachment_103445" align="aligncenter" width="610"]photo 1 La plaque rouge -avec nom, géniteurs, matricule et date de naissance- signifie que le cheval est un pur-sang arabe, reconnaissable à sa queue de coq, son chanfrein arrondi, ses grands yeux et ses petites oreilles. Il est considéré comme plus nerveux mais moins endurant que le barbe, "cheval 4x4" renommé pour sa polyvalence.[/caption]

*A ne pas confondre avec la Petite Jumenterie, située juste à côté du centre équestre de l’Emir Abdelkader, où les particuliers peuvent amener leurs juments se faire féconder par l’un des 15 étalons de l’établissement.

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Source : Algérie Focus
Date : July 31, 2014 at 12:56PM

Beach-volley à la Grande poste

Ce n’est pas une blague, mais une réalité ! Les mordus de beach-volley n’auront pas à se déplacer à la plage. Ils pourront assister à des tournois qui auront lieu à partir du 12 août à la Grande poste d’Alger avec la participation de paires représentant différentes ligues du pays. Par ailleurs, la ligue algéroise […]

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Source : TSA-Algérie
Date : July 31, 2014 at 12:39PM

Soutien à Gaza : une minute de silence dans l’indifférence à Alger

Les autorités algériennes ont annoncé, mercredi soir, la tenue de 5 minutes de silence en hommage aux morts de Gaza ce jeudi à midi. Elle devait être respectée par les salariés du public et du privé. Sur la place Audin ce midi, elle a été accueillie dans une relative indifférence. Place Audin, l’un des lieux […]

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Source : TSA-Algérie
Date : July 31, 2014 at 12:37PM

Les producteurs de boissons dénoncent la prolifération de l’informel

L’Association des producteurs algériens de boissons (Apab) s’apprête à écrire au ministre du Commerce pour dénoncer la concurrence déloyale de l’informel. Dans un courrier que l’Apab compte adresser à Amara Benyounès la semaine prochaine, et dont nous détenons une copie, les producteurs de boissons font état d’une « concurrence déloyale, singulièrement violente en période estivale, et […]

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Source : TSA-Algérie
Date : July 31, 2014 at 12:28PM

Maroc-Algérie : Mohamed VI qualifie “d’étrange” le maintien de la frontière terreste fermée

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Mohamed VI a présidé mercredi une cérémonie à Rabat célébrant ses 15 ans sur le trône marocain. L'occasion pour le roi du Maroc de s'exprimer sur la fermeture de la frontière algéro-marocaine.

Au lendemain de l'Aïd el-Fitr, les célébrations se pousuivent au Maroc. Mercredi, le royaume chérifien a ainsi fêté les quinze ans de règne de Mohamed VI. Accompagné du prince Moulay El Hassan, le roi Mohamed VI a présidé au palais royal à Rabat la "fête du trône". Une cérémonie officielle à laquelle tout le gratin de la cour royale a été conviée. Habillés d'une djellaba blanche et en babouches, pour les hommes, les invités ont prêté allégeance à leur roi, qui a paradé sur un cheval. Le souverain marocain a également plusieurs pesronnalités marocaines et étrangères de Ouissams royaux.

Le maintien des frontières fermées est "étrange"

Au-delà de l'aspect cérémonial et traditionnel, ce rendez-vous était aussi politique. Mohamed VI a ainsi profité de l'occasion pour s'exprimer longuement sur des questions de politiques étrangères, notamment sur les relations entre Rabat et Alger. Durant son discours, le souverain marocain a déclaré que rien ne justifie la "persistance de la fermeture des frontières", établie en 1994, soit cinq ans avant son accession au trône, rapporte l'agence Romandie News. Qualifiant le maintien de la fermeture de la frontière terrestre algéro-marocaine "d'étrange", Mohamed VI a estimé que la "situation a atteint un seuil que le citoyen maghrébin ne comprend, ni n'accepte".

La faute à son voisin algérien, a accusé de façon tacite le roi du Maroc dans son discours. Selon lui, l'Algérie, par sa position sur le dossier du Sahara occidental, entrave la mise en oeuvre  d'union solide des Etats du Maghreb. Mohamed VI s'est dit convaincu que l'impasse dans laquelle se trouve une Union du Maghreb, aujourd'hui à l'état végétatif, "n'est pas une fatalité". Encore faut-il que les pays maghrébins prennent exemple sur la réussite de l'Union européenne, qui "a toujours connu des différends entre ses membres, mais sans que ces divergences ne finissent en rupture", a ainsi affirmé Mohamed VI.

Alger coupable d'entraver l'émergence de l'Union du Maghreb

Mais pour le roi du Maroc, l'Algérie n'est pas enclin à favoriser l'émergence d'une Union des Etats du Maghreb. Mohamed VI a ainsi reproché mercredi au gouvernement algérien, sans le nommer, de bloquer toutes les initiatives de Rabat en faveur d'une union régionale. "Ce qui est regrettable, c'est de persister à entretenir le désaccord pour enrayer la marche de l'Union maghrébine", a-t-il ainsi laissé entendre, avant de de pointer du doigt la responsabilité de l'Algérie dans l'échec de l'établissement d'une union du Maghreb : "Toutes les initiatives marocaines responsables se heurtent à une intransigeance et un refus systématique" ... de l'Algérie.

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Source : Algérie Focus
Date : July 31, 2014 at 11:58AM

Solidarité avec Ghaza : les ministres algériens observent une minuste de silence

SELLAL MINUTE DE SILENCE

Comme il a été décrété mercredi par la Présidence de la République, jeudi matin, les ministres algériens ont observé jeudi matin une minute de silence en signe de solidarité avec les palestiniens de Ghaza.

A 12 H, de nombreux ministres algériens se sont rassemblés devant l'entrée du Palais du Gouvernement pour observer religieusement cette minute de silence. Comme le montre cette photo prise par nos soins, les ministres ont été regroupés sur le parvis du palais du gouvernement. Les employés et cadres qui travaillent avec le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, ont rejoint aussi les ministres pour observer ce moment de recueillement à la mémoire des victimes de l'agression israélienne contre Gaza. Rappelons enfin que sur les lieux de travail, les salariés algériens ont également interrompu également durant 5 minutes leurs activités pour rendre aussi hommage aux victimes de l’agression israélienne.

PALAIS DU GOUV 1

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Source : Algérie Focus
Date : July 31, 2014 at 11:45AM

L’escrimeuse Nour El Houdda enfin prise en charge par les autorités

La jeune escrimeuse algérienne Nour El Houda Heddaoui que la maladie a éloigné des compétitions, a finalement pu bénéficier d’une prise en charge à l’étranger. Ce, grâce notamment à « l’apport déterminant du Premier ministre M. Sellal », indique un communiqué de la Fédération algérienne d’escrime (FAE). Souffrant de la maladie d’otchking (cancer des ganglions), la sportive de […]

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Source : TSA-Algérie
Date : July 31, 2014 at 11:31AM

Mercato : M’Bolhi s’engage aux États-Unis

M'Bolhi

Le gardien de l’équipe nationale, Raïs M’Bolhi, a finalement signé avec l’Union Philadelphia.

Le transfert de M’Bolhi, révélation du Mondial 2014, a été officialisé lors d’une courte conférence de presse organisée mercredi soir. Le gardien algérien a finalement choisi l’Union Philadelphia, un club du nord-est des États-Unis engagé dans la Major League Soccer (la principale ligue professionnelle de football en Amérique du Nord).

« Le Philadelphia Union annonce aujourd’hui avoir recruté l’international algérien Raïs M’Bolhi, 28 ans. Comme le veut la politique du club et de la MLS, les termes de la transaction ne seront pas dévoilées », a annoncé mercredi le président du club.

Le montant de la transaction n’a donc pas été révélé, mais la presse sportive parle estime le coût du transfert à 300 000 euros. Précédemment engagé avec le CSKA Sofia (Bulgarie), M’Bolhi a disputé le Mondial 2014 avec l’équipe nationale. Sa prestation dans les cages algériennes a marqué les esprits de tous les amateurs de ballon rond.

S’exprimant dans un anglais plutôt fluide, M’Bolhi a fait part de sa joie et de sa fierté. « Je suis vraiment heureux d’être là aujourd’hui, c’est un grand jour. Je suis vraiment fier de faire partie de cette équipe, je veux en remercier les dirigeants. Nick (le directeur du club) a une vraie vision, depuis que je l’ai rencontré ma décision a été prise parce que c’est quelqu’un qui veut gagner. Il a un très beau projet et c’est ce que je recherchais. Un projet et un club qui a des valeurs. J’ai pris ma décision assez vite », a-t-il déclaré.

« J’ai beaucoup voyagé mais je n’ai jamais vraiment eu la chance de rester dans un club et prouver ce que je sais faire. Dans tous ces pays [Bulgarie, Russie, Japon], je ne me suis jamais vraiment bien senti. Pour bien jouer il faut être bien sur et en dehors du terrain », a également confié M’Bolhi.

Fort de son expérience dans un tournoi international, M’Bolhi a expliqué que ses deux points forts étaient « l’expérience » et « le travail ». « Je n’aurai pas dit ça il y a deux ans, voir même il y a un an seulement mais maintenant je peux dire que mon point fort c’est mon expérience », a-t-il dit. « Comment j’ai fait pour réaliser une bonne Coupe du Monde ? Le travail, rien d’autre. La première partie de la saison je n’ai pas joué, c’était vraiment dur mais j’avais mon objectif, c’était la Coupe du Monde. Le seul mot d’ordre que j’avais c’était le travail. La Coupe du Monde est la plus grande compétition qu’un joueur peut connaitre, c’est une grande expérience dont j’ai beaucoup appris à propos du très haut niveau. Je crois que j’ai grandi aussi bien en tant qu’homme qu’en tant que gardien en jouant ces deux Coupes du Monde », a-t-il enfin conclu, avant de recevoir une grande claque dans le dos de la part du président du club, visiblement enchanté de son acquisition.

Le mercato des Fennecs

Raïs M’Bolhi n’est pas le seul joueur de l’équipe algérienne dont le transfert a été fortement médiatisé. Depuis la fin de la Coupe du monde, de nombreux joueurs algériens ont fait tourner les têtes des passionnés du mercato.

Lire notre article : Mercato d’été, où en sont les Fennecs ?

Pour le moment, deux transferts ont été officialisés : celui de Rafik Halliche au Qatar SC, et celui de Yacine Brahimi au FC Porto.

Plus incertaine est la situation de Safir Taïder. Mercredi soir, le joueur a confié à BeIn Sports qu’il souhaitait rester avec l’Inter Milan. « Je me sens bien avec l'Inter et je n'ai nullement l'intention de changer d'air. J'ai beaucoup appris avec ce club la saison dernière », a-t-il confié. Mais rien n’a pour le moment été confirmé par le club.

L’autre interrogation majeure concerne Islam Slimani. Nul ne sait si le joueur continuera avec le Sporting Lisbonne la saison prochaine. Des rumeurs évoquent des propositions alléchantes des clubs anglais Leicester City et West Ham, du Bayer Leverkusen (Allemagne) et du Schalke 04 (Allemagne). D’autres indiquent que l’ancien coach des Verts, Vahid Halilhodzic, souhaite emmener Slimani avec lui à Trabzonspor, en Turquie. Slimani est sous contrat avec le Sporting Lisbonne jusqu’en 2017. Fixée à 7 millions avant le Mondial, l’indemnité de transfert de l’attaquant algérien est montée à plus de 30 millions d'euros.

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Source : Algérie Focus
Date : July 31, 2014 at 10:55AM

Bouteflika peut-il réellement apporter la paix à Gaza ?

bouteflika 28 avril

Abdelaziz Bouteflika fait ces dernières 24 heures un incroyable forcing diplomatique pour ramener la paix à Gaza, ville martyre qui ne compte plus ses morts et ses enfants déchiquetés par les bombardements israéliens.

Abdelaziz Bouteflika, après avoir fêté les 100 jours de son 4e mandat, a lancé des initiatives diplomatiques dans l'optique d'obtenir un arrêt urgent de l'agression israélienne contre Gaza. D'abord, il s'est entretenu, mercredi, successivement avec son homologue égyptien, Abdelfetah Sissi, ainsi qu'avec l'Emir de l'Etat de Qatar, Temim Ben Hamed Al Thani, sur la situation à Ghaza, affirme sur un ton fier un communiqué du palais d'El-Mouradia.

Un communiqué qui nous explique plus loin que  "le président Abdelaziz Bouteflika a également discuté avec ses interlocuteurs des voies et moyens d'une action arabe commune plus intense en vue d'amener la communauté internationale à obtenir un arrêt urgent de l'agression israélienne à Ghaza ainsi que pour une solidarité arabe accrue aux côtés de la population palestinienne à Ghaza". Mais quelle action concrète va-t-elle jaillir de ces discussions ? Comment Bouteflika envisage-t-il de faire plier Israël à ses exigences de paix ? Pour l'heure, le locataire d'El Mouradia ne dit absolument rien. Et pourtant, aujourd'hui, il paraît réellement compliqué de trouver un consensus arabe à même d'exercer des pressions utiles pour arrêter la lâche agression israélienne contre Gaza. Entre une Égypte qui  affiche presque publiquement son soutien à une action hostile au Hamas et une Arabie Saoudite obnubilée par sa guerre froide contre l'Iran, Gaza se retrouve au coeur d'un bras-de-fer diplomatique qui ne lui est nullement favorable.

Et puis, tout le monde le sait, Israël ne fléchira jamais face à de simples pressions arabes. Depuis le début de la tragédie palestinienne, seule l'arme du pétrole utilisée pendant les années 70 a réussi à obliger l'Occident à revoir sa politique d'appui à l'entité sioniste. Mais aujourd'hui en 2014, Bouteflika n'aborde jamais la possibilité d'utiliser le pétrole comme une arme stratégique. Alors comment peut-il réellement apporter la paix à Gaza ? On ne le sait pas trop. On sait juste qu'il a uniquement décidé d'une aide financière urgente de 25 millions de dollars au profit de la Palestine et notamment de Ghaza. Mais l'argent n'a jamais arrêté une guerre, une agression ou une injustice. Et Bouteflika est le premier à le savoir...

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Source : Algérie Focus
Date : July 31, 2014 at 10:14AM

Revue de presse. Vidéo : reportage au cœur des tunnels creusés par le Hamas à Gaza

Hamas-tunnel

L'un des objectifs déclarés de l'opération israélienne dans la bande de Gaza est de détruire les tunnels creusés par le Hamas qui, selon Israël, permettent l’infiltration de combattants sur son territoire. Reportage au cœur de ces installations.

L'armée israélienne a annoncé jeudi 31 juillet la mobilisation de 16 000 réservistes supplémentaires, portant leur nombre à 86 000, afin de poursuivre l'opération menée dans le bande de Gaza depuis le 8 juillet. Depuis le début de l’opération Bordure protectrice, 1 330 personnes sont mortes et plus de 7 300 ont été blessées côté palestinien, en majorité des civils, et 56 soldats israéliens ont été tués, le bilan le plus lourd pour Tsahal depuis sa guerre contre le Hezbollah libanais en 2006.

Les forces israéliennes se disent toutefois proches d’atteindre leur objectif : détruire l'ensemble des tunnels frontaliers creusés par les activistes palestiniens, au cœur du conflit. Le général Sami Turgeman, chef des forces israéliennes engagées dans la bande de Gaza, a ainsi déclaré mercredi qu'elles étaient "à quelques jours d'avoir détruit l'ensemble des tunnels des assaillants". L'armée a indiqué que 32 tunnels avaient à ce jour été découverts et que la moitié d'entre eux avaient été dynamités.

Antoine Mariotti, Chris Moore et Yoray Liberman, envoyés spéciaux de FRANCE 24 dans l’enclave palestinienne, ont pu se rendre dans l’un de ces tunnels à Ein Hashlosha, situé à 1,5 km de la frontière de la bande de Gaza, accompagnés de soldats de Tsahal.

Lire la suite sur France 24

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Source : Algérie Focus
Date : July 31, 2014 at 08:56AM

Revue de presse. Les colons de Cisjordanie, premiers soutiens de l’offensive à Gaza

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A Gaza, les combats continuent. L'immense majorité des Israéliens soutient cette opération qui dure depuis 23 jours maintenant. Dans les colonies de la Cisjordanie, ce chiffre est encore plus élevé : ils sont jusqu'à 95% à approuver cette intervention et sa méthode. Nicolas Ropert, notre correspondant dans la région s'est rendu dans implantation juive de Beit El, à côté de Ramallah. Reportage.

Une barrière bloque l'accès à la colonie de Beit El, située en face de Ramallah. Après négociation, les portes s'ouvrent sur une petite ville installée au beau milieu de la Cisjordanie. Six mille juifs israéliens habitent là.

Dans un petit restaurant à l'entrée de l'implantation, Yorana Anchelovich, un colon israélo-américain, n'hésite pas à clamer son soutien à l'opération israélienne : « Tout le monde ici est d'accord pour dire que cette opération est très importante. Il faut l'effectuer jusqu'au bout. Je n'ai entendu personne ici dire le contraire. Et même si la perte de soldats est quelque chose de terrible. Mais chaque soldat tué maintenant sauve en fait la vie de dizaines plus tard. Parce que la situation ne pouvait qu'empirer ».

Lire la suite sur RFI

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Source : Algérie Focus
Date : July 31, 2014 at 08:53AM

Revue de presse. Du Maroc à l’Égypte, opération barricades contre le terrorisme

Terrorisme-Mali

Face à la menace de multiples groupes armés, les pays d'Afrique du Nord se retranchent derrière leurs frontières. Mais la nécessité de passer à l'offensive se fait de plus en plus impérieuse.

Proche de la frontière entre l'Algérie et la Tunisie, la ville de Tébessa est devenue le QG de pourparlers sécuritaires d'envergure ce mardi 22 juillet. Suite à l'attaque terroriste du mont Chaambi, non loin de là, où quinze militaires tunisiens ont été tués le 16 juillet, le chef du gouvernement tunisien, Mehdi Jomâa, et le Premier ministre algérien, Abdelamelk Sellal, ont scellé un accord visant à mener des opérations concertées le long de leurs frontières. Ainsi, 14 000 soldats algériens et tunisiens seront mobilisés.

Un déploiement sécuritaire qui ne se résume pas à une affaire algéro-tunisienne. Du Maroc à l'Égypte, les pays d'Afrique du Nord barricadent leurs frontières face à une hydre aux tentacules gigantesques mêlant islamisme armé, terrorisme, trafics en tous genres... "Le danger terroriste", tel qu'il est officiellement (et vaguement !) nommé.

Lire la suite sur Jeune Afrique

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Source : Algérie Focus
Date : July 31, 2014 at 08:50AM

Revue de presse. L’inquiétude face à Ebola grandit dans le monde

Ebola

L'inquiétude face à l'épidémie d'Ebola qui se propage en Afrique de l'Ouest a commencé à gagner le reste du monde, les autorités britanniques s'alarmant mercredi de cette "menace" tandis que Hong Kong annonçait de possibles mesures de quarantaine.

L'organisation Médecins sans frontières a averti que le virus, qui a fait plus de 670 morts en Afrique de l'Ouest depuis le début de l'année, était "hors de contrôle" et qu'il y avait un "réel risque de voir de nouveaux pays touchés". La maladie touche la Guinée, le Liberia, la Sierra Leone, et a fait un mort au Nigeria, un passager arrivé à Lagos par avion de Monrovia via Lomé, ce qui a conduit deux compagnies aériennes africaines, Arik et ASKY, à interrompre leurs liaisons avec le Liberia et la Sierra Leone.

La situation a conduit l'Organisation de l'aviation civile internationale (OACI) à consulter l'Organisation mondiale de la Santé (OMS) au cours d'une téléconférence mardi, sans donner lieu toutefois à la prise de mesures immédiates. A Londres, une réunion interministérielle de crise a été convoquée à propos de cette épidémie que "le Premier ministre (David Cameron) considère comme une menace très sérieuse", a expliqué le chef de la diplomatie Philip Hammond. Le ministre des Affaires étrangères s'est toutefois voulu rassurant après la réunion en jugeant "très peu probable" la possibilité qu'Ebola se propage au Royaume-Uni. "Je voudrais souligner qu'en ce qui concerne le Royaume-Uni, la question porte sur la possibilité que quelqu'un ayant contracté la maladie en Afrique tombe malade ici", a-t-il déclaré. Quant à une "propagation de la maladie au Royaume-Uni, nous avons des procédures de contrôle de l'infection qui rendent (cette hypothèse) très peu probable", a-t-il assuré, ajoutant que l'"approche la plus logique" était de fournir de l'aide "pour traiter la maladie à la source". Une personne au Royaume-Uni, soupçonnée d'avoir contracté la maladie, a subi des tests qui se sont révélés négatifs.

Lire la suite sur El Watan

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Source : Algérie Focus
Date : July 31, 2014 at 08:47AM

Ils ont déclaré…

Ramtane Lamamra, ministre des Affaires étrangères : « Les développements graves de la situation sécuritaire en Libye préoccupent au plus haut point l’Algérie. » (Le Soir d’Algérie) Ramtane Lamamra : « L’Algérie est pour le principe de la construction d’une relation bilatérale naturelle avec le royaume marocain frère. » (Ennahar) Saïd Tiamouimine, SG du syndicat UGTA d’Air Algérie : […]

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Source : TSA-Algérie
Date : July 31, 2014 at 07:45AM

La revue de presse du jeudi 31 juillet

Violences à Ghardaïa La violence reprend à Ghardaïa : l’État impuissant », titre El Watan. « Les multiples promesses des autorités de ramener la paix dans la vallée du M’zab se sont avérées vaines. L’usage de la force n’a pas pu mettre fin aux appels à la haine qui risque d’embraser cette région. Des informations des plus […]

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Source : TSA-Algérie
Date : July 31, 2014 at 07:42AM

mercredi 30 juillet 2014

En payant des rançons, l’Europe finance Al-Qaeda

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Prendre en otage des Européens et les échanger contre une rançon est devenu une entreprise rentable pour les différentes branches d’Al-Qaeda. C’est ce que révèle une étude publiée par le grand quotidien américain The New York Times.

L’Europe, « un financeur involontaire d’Al-Qaeda »

« Pour le dire crûment, l’Europe est devenu un financeur involontaire d’Al-Qaeda », écrit Rukmini Callimachi dans un reportage publié mardi 29 juillet sur le site du New York Times. Après avoir interrogé des anciens otages, des négociateurs, des diplomates et des officiels gouvernementaux de 10 pays d’Europe, d’Afrique et du Moyen-Orient, Callimachi dévoile les dessous du système des rançons, s’appuyant également sur des documents internes d’Al-Qaeda qu’il avait découverts au Mali l'année dernière.

Les conclusions du journaliste sont édifiantes. Bien que les gouvernements européens se targuent de ne pas négocier avec les terroristes et de ne jamais payer des rançons, la réalité est bien différente. Par le biais d’intermédiaires (des compagnies publiques ou des pays tiers comme le Qatar et Oman), et en faisant notamment passer l’argent pour de l’aide humanitaire, certains gouvernements européens versent des rançons colossales aux terroristes.

Selon le New York Times, Al-Qaeda et les groupes qui lui sont directement affiliés ont obtenu depuis 2008 au moins 125 millions de dollars de rançon. Une somme colossale, principalement versée par les gouvernements européens, qui permet aux combattants djihadistes de financer leurs activités à travers le monde.

Le paiement des rançons, un douloureux dilemme

Pour les pays confrontés à l’enlèvement d’un ou plusieurs de leurs ressortissants, le dilemme est douloureux. Deux stratégies sont aujourd’hui adoptées par les pays occidentaux : payer une rançon afin que les otages soient relâchés sains et sauf (ligne adoptée par la France, l’Autriche, l’Espagne et la Suisse), ou ne pas payer et risquer que les otages soient exécutés (la position des États-Unis et du Royaume-Uni).

L’Algérie se situe dans le second groupe. En 2011, lorsque 17 marins algériens avaient été enlevés, le porte-parole du ministère des affaires étrangères de l’époque, Amar Belani, avait soutenu une position tranchée. « L'Algérie a une position doctrinale immuable et connue y compris au sein du système des Nations unies. Cette position constante, nous l'avons réaffirmée à de nombreuses reprises : l'Algérie ne verse pas de rançons et elle condamne fermement cette pratique, qu'elle soit le fait des États ou d'organismes parapublics ou privés », avait-il déclaré.

« C’est une situation très difficile », explique un ancien ambassadeur de l’Union européenne en Algérie, « mais, au final, on parle de la vie humaine ». Quelque soit la position adoptée, les conséquences sont souvent dramatiques. Dans le cas où le pays refuse de payer une rançon, les terroristes exécutent les otages. À l’inverse, si un pays commence à payer des rançons pour libérer ses ressortissants, non seulement il aide à l’essor du groupe terroriste mais en plus il rend tous ses citoyens vulnérables.

Un cercle vicieux

De plus, le paiement des rançons a initié un cercle vicieux. C’est par exemple ce qui a permis l’essor d’Al-Qaeda au Maghreb islamique (AQMI). Le New York Times raconte la genèse de cette branche d’Al-Qaeda qui règne aujourd’hui sur le nord de l’Afrique. En 2003, un « obscur groupe d’extrémistes islamistes » enlève 32 Européens. En échange de la libération des otages, le groupe reçoit 5 millions d’euros. Grâce à cet argent, il recrute et entraîne des combattants, qui commencent à conduire des attaques dévastatrices dans la région. Le groupe devient alors une force régionale, et est accepté comme une branche officielle d’Al-Qaeda, baptisée AQMI.

Rationaliser les prises d’otages

Aujourd’hui, AQMI a fait de la prise d’otages sa principale source de revenus. La capture des otages répond à une feuille de route parfaitement organisée. Les groupes terroristes sous-traitent à des organisations criminelles, qu’ils paient pour la capture de citoyens européens. Ils ciblent particulièrement les ressortissants de pays connus pour payer des rançons. Comme l’explique Jean-Paul Rouiller, directeur du Geneva Center for Training and Analysis of Terrorism, « les otages sont un investissement, et l’on n’investit pas si l’on n’est pas sûr d’un retour sur investissement ». Une fois les otages aux mains d’Al-Qaeda, le processus de négociation est construit minutieusement : il commence par une longue période de silence, ensuite suivie par une vidéo de l’otage suppliant son gouvernement de négocier avec les ravisseurs.

L’argent récupéré grâce aux rançons est à ce point précieux qu’AQMI ne tue presque plus ses otages. Depuis 5 ans, très peu d’otages ont été exécutés, car il est plus rentable pour les terroristes de les garder en vie. Selon une enquête du magazine Times, seulement 15% des otages ont été assassinés ou sont morts depuis 2008.

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Source : Algérie Focus
Date : July 30, 2014 at 06:21PM

M’bolhi rejoint officiellement le Philadelphia Union

Il évoluera désormais aux États-Unis. Après plusieurs jours de rumeurs, le gardien de buts algérien Rais M’bolhi a officiellement signé son contrat avec l’équipe américaine du Philadelphia Union, ce mercredi 30 juillet. L’annonce a été faite par le site officiel du club qui n’a cependant pas précisé la durée du contrat, ni le montant payé […]

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Source : TSA-Algérie
Date : July 30, 2014 at 06:19PM

Saphir Taider rejoue avec l’Inter de Milan

Pressenti à West Ham depuis plusieurs jours, l’International algérien de l’Inter Milan est pour le moment bien en Italie. Saphir Taider a participé, le mardi 29 juillet, au match amical de son équipe face à Manchester United (défaite 3-5 aux tirs au but). La rencontre s’est déroulée à Washington, dans le cadre de l’International Champion’s […]

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Source : TSA-Algérie
Date : July 30, 2014 at 06:14PM

Fermeture des frontières algéro-marocaines : une « situation étrange » pour Mohamed VI

Mohamed VI estime « injustifiée » la persistance de la fermeture des frontières terrestres avec l’Algérie, dans son discours à l’occasion de la fête du trône, prononcé ce mercredi 30 juillet. « Quelle que soit la portée de ce différend, cela ne saurait justifier par exemple la persistance de la fermeture des frontières. En effet, […]

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Source : TSA-Algérie
Date : July 30, 2014 at 06:05PM

Bouteflika : les 100 jours du 4e mandat

Le président Abdelaziz Bouteflika, à la tête du pays depuis 1999, vient de franchir le cap des cents jours de son quatrième mandat. Toujours en convalescence puisque aucun communiqué n’est venu affirmer le contraire. Abdelaziz Bouteflika se contente du service minimum dans la gestion des affaires de l’État : accueil des délégations officielles étrangères, lettres de félicitation, […]

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Source : TSA-Algérie
Date : July 30, 2014 at 05:59PM

Le Kremlin-Bicêtre, une «petite Algérie» au cœur de Paris

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C’est une ville qui s’appelle le Kremlin-Bicêtre. Non, ce n’est pas une ville russe contrairement à ce que laisse penser, de prime abord, son nom. C’est une ville bel et bien française. En plus, une ville parisienne située juste à côté de Paris. Une petite ville de banlieue de 26 mille habitants qui entretient une relation très forte avec l’Algérie. Et pour cause ! Ici, au Kremlin-Bicêtre, les ressortissants algériens ont recréé une véritable «petite Algérie». Et à la mairie de cette petite ville française, les élus assument pleinement ce métissage culturel et cette forte présence algérienne. Voyage dans cette «petite Algérie» située au cœur de Paris.

Djmawi Africa. Jusqu’au 12 juillet dernier, presqu’aucun habitant du Kremlin-Bicêtre n’a entendu parler de ce jeune groupe de musique algérien qui puise dans le terroir africain du patrimoine algérien son inspiration pour chanter le quotidien de la jeunesse algérienne. Mais le 12 juillet dernier, en plein Ramadhan, Djamil, Abdou et les autres membres de ce groupe se sont invités au Parc Pinel, un joli parc situé au centre-ville du Kremlin-Bicêtre. Dans ce lieu qui incarne une précieuse bouffée d'air frais dans cette ville très fréquentée par les automobilistes parisiens mais qui manque cruellement d’espaces verts pour faire face à la pollution routinière, les jeunes musiciens algériens ont mis «une ambiance de folie». Les chansons algériennes les plus célèbres ont été entonnées face à un public endiablé qui a savouré une dose d’adrénaline venue tout droit des quartiers chauds d’Alger. Et ce public n’était guère composé que de jeunes franco-algériens ! Des «Geneviève» s’étaient également déplacées jusqu’au parc pour découvrir cette autre facette de l’Algérie. Cette musique Gnawi, sahraouie mélangée au Reggae, le Raï et le Chaâbi a charmé les esprits et elle a, surtout, réuni toutes les franges de cette ville.

Des jeunes d’origine algérienne ou français «de souche» en passant par les personnes âgées jusqu’aux familles issues des mariages mixtes, ce concert organisé par la Mairie du Kremlin-Bicêtre a finalement révélé la véritable identité plurielle de cette ville française. Organisé dans le cadre de toute une semaine algérienne prévue à l’occasion des «Estivales Kremlinoises» qui reviennent chaque année pendant les mois de juillet et août, ce concert a aussi révélé tout le poids de la communauté algérienne dans cette petite ville de la banlieue parisienne. Une communauté qui a largement bénéficié cette année de ces animations estivales programmées par les autorités de cette leur ville dans le cadre de leur politique de loisir. Concert de musique, projection cinéma, ateliers pour les enfants animés par des animateurs venus de Bordj Bou Arreridj, à l’est d’Alger, les Algériens du Kremlin-Bicêtre ont été les premiers à bénéficier de cette ouverture vis-à-vis de leur pays d’origine. Des origines qui sont assumées partout au Kremlin-Bicêtre ou le KB comme disent affectueusement les jeunes habitants.

«Ici les bars et les cafés sont presque tous tenus par des Kabyles. Plusieurs algériens possèdent également des magasins. De nombreux algériens sont propriétaires d’appartements dans cette ville qui a l’avantage d’être très proche de Paris. Il suffit juste de prendre la ligne 7 du métro parisien pour rentrer ou sortir du KB. L’aéroport Orly n’est pas loin, la Place d’Italie est située juste à côté. Un coin vraiment stratégique et les Algériens ont compris cela», témoigne Salim, un jeune algérien de 28 ans qui vit au «KB» depuis bientôt 5 ans. Ce compatriote se plait bien dans cette petite ville où il ne se sent jamais dépaysé. «Ici le Ramadhan, c’est presque comme au pays», ajoute notre interlocuteur. Et pour nous convaincre, Salim n’a pas hésité à nous faire découvrir Le Trésor Sucré. Cette pâtisserie orientale est très célèbre à Paris. Tous les gâteaux algériens sont préparés  avec soin et délicatesse. De la Baklawa en passant par le tcharak jusqu’au Kalb Elouz et El-Mechouak, toute la pâtisserie algérienne sans sa grande diversité est exposée à la vente. Des délicieuses pâtisseries en formes si diverses mais dessinées avec élégance enchantent chaque jour des clients qui parcourent tout Paris pour les acheter.  La finesse en saveur et la pâte si fine a fait la légende de ces gâteaux algériens. Et le Ramadhan, on se bouscule dès les premières heures de la journée aux portes du Trésor Sucré pour faire ses emplettes.  Le rush est si important, et impressionnant, que le gérant des lieux mobilise un petit service d’ordre avant que la queue soit réellement respectée pour que personne ne viole le tour de l’autre.

«Je suis installé ici depuis 21 ans. Notre boutique est devenue référence dans tout Paris grâce à notre travail acharné. Nous avons voulu dès le début montrer le meilleur de notre culture et patrimoine avec des gâteaux délicieux et excellents. Et nous avons réussi parce que dans cette petite ville, une importante communauté algérienne nous a encouragés aussi», nous confie Ali Djellal, le gérant du Trésor Sucré. Comme beaucoup d’habitants d’origine algérienne de cette ville française, il est originaire de Mostaganem, à l’ouest du pays, tout près d’Oran. «Mostaganem et Oran sont les deux régions algériennes les plus représentées au Kremlin Bicêtre. Presque tout le monde se connait. Nous faisons de notre mieux pour donner une bonne image de l’Algérie à nos voisins et amis français», explique encore Ali dont les gâteaux sont minutieusement préparés dans un laboratoire bien équipé et géré par toute une équipe de pâtissiers formés et connaisseurs des saveurs algériennes.

Des saveurs qu’on retrouve, par ailleurs, dans d’autres lieux comme les boucheries hallal de la ville, les restaurants kabyles ou les épiceries traditionnelles algériennes. Et pour bien mettre en relief cette présence algérienne, à la mairie du Kremlin-Bicêtre, toute une politique de coopération internationale avec l’Algérie a été développée. «Les familles franco-algériennes ou françaises d’origine algérienne ont façonné l'histoire de notre ville et ont beaucoup apporté à la culture locale du Kremlin-Bicêtre», reconnaît à ce propos Marie Phliponeau, responsable de la Mission coopération internationale  de la Ville du Kremlin-Bicêtre.

[caption id="attachment_103432" align="aligncenter" width="436"]trésors sucrées / DR[/caption]

«En 2010, nous avons ouvert la mission de coopération internationale. L'Algérie était un partenaire identifié au regard des relations de la population du Kremlin-Bicêtre avec ce pays»,  explique encore notre interlocutrice qui a été à l’origine de l’organisation de la semaine algérienne en juillet qui a coïncidé également ave le Ramadhan.

«L'enjeu pour nous est d'identifier la forme de coopération avec l’Algérie qui permettra d'établir une relation durable, constructive et innovante. Tous les pays ont des organisations administratives et politiques différentes. Mêmes ceux où la décentralisation est effective, leur décentralisation ne ressemblent pas à notre forme de décentralisation. Il faut également identifier les enjeux territoriaux. Pourquoi coopère-t-on ? Pour l'Algérie, nous avons décidé d'adhérer au programme Joussour qui offrait une forme originale de partenariat. Nous pouvions réfléchir avec des acteurs de différentes natures à des projets orientés vers la jeunesse. Le travail avec des associations et des acteurs locaux français et algériens autour de l'enjeu de l'éducation sont des perspectives intéressantes», détaille Marie Phliponeau qui confectionne en ce moment de nombreux projets avec l’Association El Ghaith, une dynamique association établie à Bordj Bou Arreridj.  « Nous avons pu rencontrer Smail Izerrouken , le président de et l'association El Gaith.  Son association travaillait depuis 2008 sur des projets de nature "territoriale" : des crèches, du soutien scolaire, un centre multi-activités, bref autant de projets que nous mettons en œuvre sur notre ville. L’objectif est que notre personnel et nos structures puissent échanger avec les animateurs d'El Gaith et que les deux partenaires apprennent l'un de l'autre. Nous avons identifié un projet concret qui permettait de faire converger nos actions: le concept de plan éducatif local. C'est un premier pas pour rencontrer un "territoire" algérien et entrer en contact avec ses habitants, ses différents acteurs éducatifs, ses administrations, ses élus», Analyse Marie Phliponeau.

Une analyse que partage Fares et Abdou, deux animateurs et membres actifs de l’association El Ghaith. Invités pendant une semaine par la ville du Kremlin Bicêtre afin d’animer plusieurs ateliers dans les centres de loisirs de la répartis à travers la ville. Des ateliers de cuisine, de dessins et d’autres activités en présence des enfants scolarisés dans les différentes écoles du Kremlin-Bicêtre, les deux jeunes animateurs algériens ont pu transmettre leur expérience acquise sur le terrain algérien, mais apprendre de nombreuses notions qu’ils comptent bien mettre en pratique à Bord Bou Arreridj. «Cette ville dispose d’une véritable de loisir qui permet aux enfants de la ville de profiter réellement de leur temps libres. Leurs centres de loisir sont bien équipés et leurs animateurs sont formés et travaillent à titre de permanents ou de contractuels. Cela permet d’organiser des activités pour accompagner la scolarité des enfants et les aider encore à s’épanouir davantage dans leur vie quotidienne. C’est ce qui nous manque cruellement dans notre pays», expliquent nos deux animateurs qui ne manqueront pas d’élaborer un rapport pour tirer les conclusions de leurs expériences vécues au Kremlin-Bicêtre. «Une ville qui peut nous apprendre beaucoup en matière de gestion du temps libre et des loisirs de nos enfants», s’enthousiasment les deux animateurs. A leur retour à Bordj Bou Arreridj, ils feront tout pour convaincre les élus algériens de s’inspirer de cette petite ville française ouverte sur le monde et soucieuse du bien-être de ses habitants. Comme quoi, la «petite Algérie» peut réellement aider sa grande sœur à voir la vie en rose…

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Source : Algérie Focus
Date : July 30, 2014 at 05:43PM